This sculpture expresses the timeless myth of “the knight on a white horse” and tries to amplify its status as a ritual in female culture. Generations of girls have grown up with the belief of somewhere there is a knight. In an age where romance is conducted on screens and the route to love is harder, this illusion is crushed. Even when feminism is deeply rooted it is impossible to escape the social and cultural structure of the archetypal fantasy that still exists.
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Un matériau céramique, une roue de potier et la sculpture manuelle
La sculpture confirme l’intemporalité et la puissance du mythe du « Prince charmant » et tente même de valoriser son statut rituel dans la culture féminine. Des générations de filles ont grandi en croyant que chaque princesse avait un prince charmant quelque part. Mais à une époque où le « romantisme « se déroule à travers des écrans et où le chemin vers l’amour est plus difficile, cette illusion s’est brisée. Tandis que le féminisme s’enracine en nous, il est impossible d’ignorer les restructurations sociales et culturelles entourant cet archétype et du fantasme qui perdure encore.
L’objet est un manifeste politique qui brise la tromperie inhérente au fantasme romantique sur les rapports de force entre les sexes. L’objet met en lumière l’histoire des relations entre les hommes et les femmes et le mouvement #MeToo, qui cherche à briser les rapports de force dans la routine des comportements sexuels de la société contemporaine.
